Pour la quatrième année consécutive, en 2021, LSA publie son édition spéciale destinée aux femmes qui comptent dans la grande consommation, en France. Elle met en lumière 50 profils de femmes actives dans les fonctions de direction générale, mais aussi dans les fonctions marketing, commerciale et digitale. Sommaire. Un millésime 2020 encourageant. Direction générale. Direction commerciale. Direction marketing. Direction e-commerce. Document de fond. Peu de chiffres.

Les comportements alimentaires dominants, conditionnés par le toujours plus vite, toujours moins cher, conduisent notre société au chaos. Issue de secours.

En mai 2021, soit deux mois après le départ d'Emmanuel Faber, le conseil d'administration du géant agroalimentaire français Danone, spécialiste des eaux embouteillées et des produits laitiers, a annoncé la nomination d'Antoine de Saint-Affrique, peu connu du grand public, à la direction générale. Une nomination très attendue. Détails. Pas de chiffres.

Classés "probablement cancérogènes" par l'OMS, les additifs nitrés dans la charcuterie sont ciblés par une proposition de loi et une pétition visant à les interdire, mais défendus par un groupe de pression de 300 entreprises. Ses armes : procès en rafale contre l'application anti-malbouffe Yuka et financement d'études scientifiques équivoques. Enquête.

Crise du climat, souffrance animale, enjeux de santé... La consommation de viande ne cesse de baisser. Et les alternatives d'émerger. Cet été, "M" raconte la révolution de la viande de demain. Première étape chez Beyond Meats, Impossible Foods ou The Vegetarian Butcher, ces entreprises dont les labos industrialisent des biftecks sans protéines animales. Et attirent des investisseurs alléchés par un marché en forte croissance. Même les géants du fast-food s'y mettent, confrontés à une demande de plus en plus pressante de consommateurs tentés par le véganisme.

Les entreprises du secteur de l'épicerie salée, à commencer par les filières céréalières, légumières et fruitières, entendent participer au renforcement de la souveraineté alimentaire française. Celle-ci correspond à la capacité du pays à assurer la couverture de ses besoins en produits agricoles et alimentaires. Elle est renforcée par un contexte favorable, avec la progression de la consommation de produits végétaux et le succès du Made in France, mais une compétitivité agricole en baisse.

Avec une démographie galopante, une santé vacillante, et des ressources déclinantes, l'industrie agroalimentaire se trouve au coeur de grands enjeux planétaires pour les prochaines décennies. La transformation est nécessaire, voire indispensable. Les industriels déploient divers leviers d'actions, de la composition des produits à l'origine des approvisionnements. Le végétal est également une voie explorée. Explications et détails sous la forme d'un dossier. Sommaire. Un chantier incontournable, celui de la transformation alimentaire. Quatre axes d'action pour les industriels.

Panorama des personnalités récompensées par les Trophées "LSA" de l'innovation 2021 qui mettent à l'honneur plusieurs dirigeants français du secteur de la grande consommation. Distributeur non-alimentaire : Roland Beaumanoir, ou le sens du commerce (Beaumanoir). Distributeur alimentaire ex aequo : Cathy Collart Geiger, une combative à la barre de Picard (Picard). Distributeur alimentaire ex aequo : Remi Baitieh, le souci du client chevillé au corps (Carrefour France). Industriels/multinationales : Jean-Baptiste Santoul, un esprit ouvert et attentif aux autres (Ferrero).

Yuka, l'application à la carotte, et Nutri-Score, le logo aux cinq couleurs, gagneront-ils leur bataille pour le mieux-manger ? Objets d'une vindicte de la port de certains acteurs du secteur agroalimentaire fronçais et européen, ces labels bataillent ferme pour garder le droit à informer les consommateurs.

Les négociations commerciales, achevées le 1er mars 2022, vont reprendre en raison de la hausse des prix des matières premières agricoles et de l'énergie liée à la guerre en Ukraine. Le gouvernement français a en effet incité les transformateurs et distributeurs à reprendre les discussions pour tenir compte de ces hausses de prix, tout en faisant appel à la responsabilité de tous. Explications. Pas de chiffres.

Pour répondre aux attentes des consommateurs, les industriels de l'agroalimentaire poursuivent leur démarche d'amélioration nutritionnelle des produits. Eliminer les excès de sucre, de sel et de gras, traquer les additifs et les pesticides, et éviter l'ultratransformation sont les trois principaux engagements de marques. Des démarches qui reposent en partie sur les labels. Explications et détails. Quelques données chiffrées.

Fin mars, plusieurs distributeurs et industriels ont signé la charte "d'engagements des fournisseurs de produits agricoles et alimentaires et des enseignes de la grande distribution dans le contexte de la guerre en Ukraine". Un document non-contraignant, rédigé sous l'égide du gouvernement, qui représente une incitation à rouvrir les négociations commerciales pour prendre en compte les accélérations des hausses de coûts suite à la guerre en Ukraine. Des détails sur les principaux engagements des enseignes et des fournisseurs.