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Produits végétaux

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Destinée à répondre à la demande de consommateurs flexitariens de plus en plus nombreux, l'offre de substituts à la viande, à base d'ingrédients végétaux s'est considérablement élargie. Le marché français s'est élevé à 400 millions d'euros en 2019 et pourrait atteindre 460 M EUR d'ici à 2013. Les start-up françaises et étrangères se montrent offensives et bénéficient du soutien du capital investissement. Mais les grands groupes industriels n'entendent pas rester en retrait et nourrissent l'ambition de faire de ces produits de niche un nouveau marché de masse. Etat des lieux. Données chiffrées.
Numéros de page :
pp.24-26, 28, 30

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"Végétaliser" le contenu des assiettes de nos enfants ? L'agro-industrie ne dit pas non. Et pour cause: il y a de très généreuses marges à faire. Sauf que la polémique sur le menu des cantines lyonnaises est passée totalement à côté de ce sujet-là...
Numéros de page :
pp.22-25

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Bulletin : LSA 2655
Le marché de la protéine végétale continue de grossir en France, avec une croissance de 10 % à 497 millions d'euros entre avril 2020 et 2021. Au niveau mondial, il était estimé à 9,8 milliards d'euros en 2018 par le Groupe d'étude et de promotion des protéines végétales, et pourrait atteindre 15 milliards d'euros en 2025. Le volet agricole du plan de relance français inclut une enveloppe de 120 millions d'euros dédiée au végétal, un segment amené à prendre de l'ampleur pour ses avantages écologiques et sanitaires.
Numéros de page :
pp.6-9

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Bulletin : LSA 2664
Encore anecdotique il y a quelques années, le végétal est une source de croissance pour tous les produits de grande consommation, y compris pour la crémerie, en 2021 en France. La crémerie végétale a ainsi enregistré un CA de 355,6 millions d'euros, soit 4,5% du total crémerie, en CAM (cumul annuel mobile), à fin mai 2021, tous circuits confondus (source : Iri). L'engouement des Français pour ces produits suscite l'intérêt de nombreux intervenants. L'objectif de ces derniers est d'augmenter la taille du marché et de recruter de nouveaux consommateurs. Explications et détails.
Numéros de page :
pp.47-48

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Bulletin : LSA 2670
Le marché des boissons végétales rencontre un grand succès en France, avec l'arrivée de nouveaux acteurs comme Danone et Nestlé avec leurs marques respectives Alpro et Wunda. Ils bousculent les références historiques, le plus souvent bio. Parmi les tendances, l'amande et l'avoine sont en plein boom, tandis que le soja est pointé du doigt par certaines ONG pour cause de déforestation. Le Made in France, avec des boissons à partir de céréales et oléagineux français se développe également. Aux delà de leur consommation au petit-déjeuner, elles investissent de nouveaux usages comme la cuisine.
Numéros de page :
pp.50-51

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Bulletin : LSA 2671
Spécialisé dans l'embouteillage des liquides vendus sous marques de distributeur (lait, jus de fruits, boissons végétales) et également actif dans la salade de quatrième gamme avec la marque Les Crudettes rachetée en 2013, LSDH - Laiterie de Saint Denis de L'Hotel (CA 2020 de 920 millions d'euros) vise a rendre son activité plus "verte".
Numéros de page :
pp.26-27

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Bulletin : LSA 2671
La tendance du végétal gagne le rayon des fromages en 2021, en France. Le CA des alternatives végétales au fromage a ainsi augmenté de 89,3% pour atteindre 2 millions d'euros (+102,4% en volume) en cumul annuel mobile à fin août 2021 (source : Iri). Tous les acteurs y vont de leur propre stratégie pour prendre part au marché : des PME référencées jusqu'alors en réseaux spécialisés s'ouvrent à la GMS ; d'autres préfèrent des acquisitions d'entreprises ; certaines déclinent leurs marques déjà existantes avec des gammes dédiées. Explications et détails. Données chiffrées.
Numéros de page :
pp.56, 58

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Bulletin : LSA 2688
Des start-up, grands groupes industriels, distributeurs et fonds d'investissement se pressent sur le marché français des produits végétaux. Un marché très dynamique à l'échelle mondiale, européenne (CA estimé à 3,6 milliards d'euros en 2020) et en France (356 millions EUR, selon Xerfi). Mais le marché français n'évolue pas aussi vite qu'à l'étranger. Ses ventes devraient atteindre 400 millions d'euros en 2022, puis baisser à 394 M EUR pour 2025 d'après Xerfi. Iri l'estime quant à lui à 468 M EUR en cumul annuel mobile à octobre 2021.
Numéros de page :
pp.48-50, 52

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Bulletin : LSA 2692
Planted, qui a débuté son activité en France en 2021 en proposant ses produits dans les entreprises de livraison de repas et la grande distribution, est une start-up suisse développant des substituts de viande tout en misant sur la transparence. Son usine est localisée à Kemptthal, en Suisse. La jeune pousse, qui a déposé 5 brevets, travaille une pâte de protéines et de fibres de pois extrudés. Elle affiche des objectifs ambitieux : multiplier les ventes par quatre chaque année. Des détails à travers la visite de l'usine. Données chiffrées.
Numéros de page :
pp.20-21

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Bulletin : L'Express 3703
Alors que l'offre de ces produits s'étoffe, les tenants de la viande traditionnelle entendent garder l'exclusivité des termes comme "steak" ou "saucisse". Derrière le débat, des enjeux commerciaux.
Numéros de page :
pp.56-57

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Bulletin : LSA 2709
Les jeunes acteurs du marché français des substituts végétaux, certes encore modeste mais prometteur, sont à l'offensive sur tous les fronts. R&D autour de leurs produits, investissements dans les outils de production, campagnes de communication... Elles multiplient les projets et par conséquent les levées de fonds pour contribuer au développement du marché et s'implanter durablement. Explications à travers quelques exemples d'entreprises : Happyvore, Umiami, La Vie, Heura Foods, Planted. Quelques données chiffrées.
Numéros de page :
pp.28-30

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Bulletin : Le 1 août 2022
La bétonisation avale les terres agricoles de l'Hexagone à un rythme insensé, avertissent les militants Nathalie Blin, Tanguy Martin et Coline Sovran. S'ils saluent un début de prise de conscience du phénomène, ils déplorent toutefois l'incapacité des pouvoirs publics à aller au-delà des demi-mesures. Notre reporter Manon Paulic montre néanmoins comment certaines collectivités ne ménagent pas leurs efforts en vue d'atteindre une réelle souveraineté alimentaire reposant sur des productions locales et bio. Une démarche qui implique d'accorder plus de place sur nos tables aux produits végétaux.
Numéros de page :
pp.1-10