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Bulletin : LSA 2679
Panorama des industriels alimentaires lauréats des Trophées "LSA" de l'innovation 2021 qui récompensent les meilleurs lancements sur le marché français. Joker propose une nouvelle façon de boire des jus de fruits. Fete, le plus frenchie des hard seltzers. Islos popularise les fromages grecs authentiques. Le saumon de Mowi Traiteur parie sur la simplicité et la créativité. Repas Express Petit Navire, facile à cuisiner, bon à consommer. Lucien Georgelin marie figue et raisin dans une confiture. Les Crudettes emballent les salades dans un sachet en papier.
Numéros de page :
pp.64, 66, 68, 70, 72, 74, 76, 78, 80, 82, 84, 86, 88

Article

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Bulletin : LSA 2693
Le marché français des boissons chaudes se montre encore dynamique en 2021, avec une croissance valeur (+1,7%) supérieure à la croissance volume (+0,1%). Sur le segment des cafés, toutes les catégories sont en hausse : +3,2% en valeur pour les dosettes, +1,9% pour les torréfiés et +32,2% pour les cafés en grains. Sur le segment des thés et des infusions, ce sont les infusions qui ont le plus recruté avec un CA en hausse de +4,2%, contre un CA en baisse de 6% pour les thés.
Numéros de page :
pp.28-30

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Bulletin : LSA 2667
Les entreprises du secteur de l'épicerie salée, à commencer par les filières céréalières, légumières et fruitières, entendent participer au renforcement de la souveraineté alimentaire française. Celle-ci correspond à la capacité du pays à assurer la couverture de ses besoins en produits agricoles et alimentaires. Elle est renforcée par un contexte favorable, avec la progression de la consommation de produits végétaux et le succès du Made in France, mais une compétitivité agricole en baisse.
Numéros de page :
pp.54-56, 58, 60, 62-64, 66, 68

Article

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Bulletin : LSA 2666
Après un fort dynamisme pendant les confinements de l'année 2020, le marché français du sucre a vu l'euphorie retomber en 202. Toutefois, les chiffres restent meilleurs qu'il y a deux ans. Les ventes ont baissé de 0,1% (367,14 millions d'euros) en valeur en cumul annuel mobile à juin 2021, par rapport à 2020. La tendance est aux produits bio, en hausse de 20,4%. Les sucres de spécialités et les édulcorants naturels ont aussi connu de belles dynamiques et s'installent dans les achats des consommateurs.
Numéros de page :
pp.36, 38

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Bulletin : LSA 2665
La météo et la reprise de la demande mondiale après la crise du Covid-19 provoquent une flambée des prix et des risques de pénurie de matières premières, qu'elles soient alimentaires ou non alimentaires, lors de la rentrée de septembre 2021. Les risques pèsent aussi sur la main-d'oeuvre, le transport, les containers, etc. Explications et détails, sous la forme d'un dossier. Sommaire. Le risque d'inflation aiguë dans le non-alimentaire. Une menace sur le rayon pâtes à cause de la pénurie de blé dur. Une flambée du prix de tous les emballages. Un manque criant de main-d'oeuvre.
Numéros de page :
pp.8-10, 12-13

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Bulletin : LSA 2665
Sur un marché français du chocolat en hausse (+7,6% en valeur et +6,4% en volume), les industriels misent sur des produits toujours plus bruts et durables. Ils espèrent ainsi répondre aux besoins d'authenticité des consommateurs et maintenir leurs bonnes performances. Des détails avec des exemples de stratégie. Données chiffrées (mention des CA et croissances en % sur les différents segments du marché).
Numéros de page :
pp.48, 50

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Bulletin : LSA 2664
Sur un marché des céréales du petit déjeuner en hausse de 0,9% en valeur et et de 1,4% en volume, le segment du bio se montre particulièrement dynamique. Ce dernier a enregistré une progression de 7,7% en valeur et de 9,1% en volume en CAM (cumul annuel mobile) à avril 2021, tous circuits confondus (source Iri). Tous les intervenants proposent du bio. Mais les attentes des consommateurs vont au-delà, et concernent par exemple du bio Made in France. Les marques, qu'elles soient historiques ou nouvelles venues, tentent de se distinguer à travers leurs recettes, packaging, etc. Des détails.
Numéros de page :
pp.50, 52

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Bulletin : LSA 2652
Les ventes de produits salés pour l'apéritif ont progressé en 2020 de 5,6%, atteignant un CA de 1,8 milliard d'euros, en cumul annuel mobile à fin février 2021, dans les circuits de la grande distribution, selon Iri. Le marché a profité de la crise sanitaire de la Covid-19 avec une hausse des apéritifss virtuels pendant les confinements et après le couvre-feu. Des recettes toujours plus "clean" rassurent et séduisent les consommateurs. Détails. Données chiffrées.
Numéros de page :
pp.40, 42

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Le secteur français des boissons chaudes a profité de la crise sanitaire de la Covid-19, avec un report de la consommation vers le domicile, lié au télétravail. Leader de l'épicerie sucrée, la catégorie café a crû au global de 8,8% en valeur, à 3 milliards d'euros, et de 3,2%, dans les circuits des grandes surfaces, en cumul annuel mobile à fin janvier 2021. De son côté, le marché des thés et infusions a crû de 7 % en valeur en 2020, à 446 millions d'euros. Enfin, les ventes de poudres chocolatées ont légèrement progressé de 0,9% en valeur.
Numéros de page :
pp.34-36, 38, 40, 42

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Auteurs
Bulletin : LSA 2651
Le marché français des conserves de poissons a vu ses ventes progresser de 9%, à 1,33 milliard d'euros, en cumul annuel mobile à fin février 2021, selon Iri. Profitant de la belle dynamique, les fabricants de conserves de poissons innovent en surfant sur la tendance santé. Ils cherchent à rajeunir leurs coeurs de cible en les rassurant via des engagements et des labels. Détails. Quelques données chiffrées.
Numéros de page :
pp.36-37

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Bulletin : LSA 2686
Après la multiplication des initiatives solidaires pendant la crise sanitaire, les marques du secteur de l'épicerie sucrée poursuivent leurs démarches en faveur de l'inclusion et de la solidarité envers les populations les plus fragiles. Elles en font un facteur de différenciation et de performance. Elles luttent contre la précarité alimentaire, participent à l'insertion professionnelle des personnes les plus fragiles, dont les personnes en situation de handicap, favorisent l'autonomie des petits producteurs, etc. Explications et détails, avec des exemples.
Numéros de page :
pp.26-28, 30, 32, 34, 36, 38, 40, 42, 44

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Bulletin : LSA 2692
Sur le marché français des tartinables (pâtes à tartiner, confitures et miels), les exigences des consommateurs ont évolué obligeant les industriels à proposer des produits plus éthiques et durables. Mais la gourmandise n'est pas oubliée. Produits bio, éthiques, réduits en sucre, sans huile de palme, premium, locaux... Les promesses sont nombreuses. Décryptage des stratégies suivies par les intervenants. Données chiffrées : CA 2021 des pâtes à tartiner de 560,5 millions d'euros (+0,4%) ; CA 2021 des confitures de 400,3 M EUR (-2,3%) ; CA 2021 des miels de 232 M EUR (-8,5%).
Numéros de page :
pp.36-40

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Bulletin : LSA 2689
Les produits d'épicerie salée bio ont reculé de 3% à 1,2 milliard d'euros en France en 2021 (source : Iri), sur un marché du bio lui même en chute de 3,1% en valeur et de 2,6% en volume. Les trois plus gros segments sont représentés par les assaisonnements et conditionnements bio (260,7 millions d'euros), les potages et les sauces bio (213,6 M EUR) et les aliments infantiles bio (213,4 M EUR). Seul ce dernier segment est en croissance. Dans le contexte de l'inflation et de la baisse du pouvoir d'achat, la croissance du bio pourrait encore être freinée à l'avenir.
Numéros de page :
pp.24-26, 28, 30

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Auteurs
Bulletin : LSA 2688
Des start-up, grands groupes industriels, distributeurs et fonds d'investissement se pressent sur le marché français des produits végétaux. Un marché très dynamique à l'échelle mondiale, européenne (CA estimé à 3,6 milliards d'euros en 2020) et en France (356 millions EUR, selon Xerfi). Mais le marché français n'évolue pas aussi vite qu'à l'étranger. Ses ventes devraient atteindre 400 millions d'euros en 2022, puis baisser à 394 M EUR pour 2025 d'après Xerfi. Iri l'estime quant à lui à 468 M EUR en cumul annuel mobile à octobre 2021.
Numéros de page :
pp.48-50, 52

Article

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Bulletin : LSA 2655
Le marché de la protéine végétale continue de grossir en France, avec une croissance de 10 % à 497 millions d'euros entre avril 2020 et 2021. Au niveau mondial, il était estimé à 9,8 milliards d'euros en 2018 par le Groupe d'étude et de promotion des protéines végétales, et pourrait atteindre 15 milliards d'euros en 2025. Le volet agricole du plan de relance français inclut une enveloppe de 120 millions d'euros dédiée au végétal, un segment amené à prendre de l'ampleur pour ses avantages écologiques et sanitaires.
Numéros de page :
pp.6-9

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Bulletin : LSA 2673
Qui détrônera Nutella sur le segment de la pâte à tartiner ? Large leader en France avec 67 % de parts de marché, la marque de Ferrero doit faire face à une concurrence de plus en plus nombreuse. En 2021, Bonne Maman, Milka, Poulain, Michel & Augustin, Nestlé ou encore Mars ont toutes investi le rayon avec un nouveau produit. Ces entreprises veulent profiter du dynamisme du secteur : la pâte à tartiner représentait un marché de 556,8 millions d'euros en France en 2020, en croissance de 10,8 % suite aux confinements qui ont boosté ses ventes.
Numéros de page :
pp.8-11

Article

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Bulletin : LSA 2669
Après une année 2020 difficile, le marché français de la confiserie se remet en ordre de marche début 2021, avec une hausse de 2,4% du CA à 3,95 milliards d'euros en cumul annuel mobile au 30 mai 2021. Les marques multiplient les efforts pour lancer l'innovation qui redonnera de l'attractivité au rayon. Elles doivent aussi répondre aux attentes des consommateurs, demandeurs de produits sains et vertueux. Les industriels travaillent également autour de leurs packaging.
Numéros de page :
pp.46-48, 50, 52, 54

Article

Auteurs
Bulletin : LSA 2650
La crise de Covid-19 a fait plonger un marché français du chewing-gum déjà peu dynamique auparavant. Il termine l'année 2020 en recul de 20,6 %, à 246,5 millions d'euros. Les fabricants veulent relancer le secteur en clarifiant l'offre et en se positionnant mieux sur les nouveaux circuits d'achat, notamment l'e-commerce et le drive. Leader du marché national, Mars Wrigley (Freedent, Airwaves) a annoncé un plan sur cinq ans qui passe par l'innovation et de nouveaux positionnements marketing, liés au gaming ou au dating, des thématiques privilégiées par une clientèle jeune à reconquérir.
Numéros de page :
pp.40-41

Article

Auteurs
Dans un contexte lié à la crise sanitaire du Covid-19, 1,22 milliards d'euros ont été levés par les start-up en France entre avril et juin 2020. Les fonds d'investissement s'adaptent aux demandes des consommateurs pour des produits responsables à travers des circuits courts.
Numéros de page :
pp.16-19

Article

Auteurs
Le secteur des biscuits sucrés (2,26 milliards d'euros de CA en cumul annuel mobile à août 2020) a pâti du fait-maison lié au confinement du printemps 2020, en particulier les biscuits petit déjeuner (-12,3% de CA en valeur en cumul annuel à août 2020). Les géants du biscuit, peu innovants depuis 1 an et demi, misent désormais sur des nouveaux produits plus responsables et sur le drive. Données chiffrées : évolution du CA des différents segments du secteur, part de marché des principaux acteurs. Détails.
Numéros de page :
pp.36-37

Article

Auteurs
D'origine néerlandaise, le groupe Wessanen, propriétaire des marques alimentaires bio Bjorg, Alter Eco ou Clipper, change de nom fin 2020. Il se fait désormais appeler Ecotone, une dénomination qui sied mieux à sa volonté de protéger et nourrir la biodiversité. Ecotone a également rappelé sa volonté d'accélérer encore davantage dans le développement d'un modèle alimentaire alternatif, en continuant à promouvoir le bio, le végétal et les produits sains. Cette stratégie passe notamment par la R&D ainsi que la croissance externe.
Numéros de page :
pp.22-23

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Le marché des produits alimentaires italiens est en croissance en France, début 2020. 33% des Français en consomment et 46% des distributeurs proposent ces produits. Ils sont associés à une cuisine saine, à des ingrédients de qualité et des recettes traditionnelles avec en prime une touche de sophistication. L'offre est également monté en gamme et a misé sur des campagnes de communication pour poursuivre son développement. Barilla, Mutti, Eataly, Ital Passion, Costa D'oro... Plusieurs entreprises parviennent à se démarquer dans la fabrication et la distribution des produits italiens.
Numéros de page :
pp.24-26, 28, 30-33

Article

Auteurs
Le petit déjeuner pris par 96 % des français à domicile tend à devenir plus naturel et écologique. Les marques s'adaptent à l'instar de Nesquik qui crée des emballages en papier, de Materne qui utilise des pommes issues de vergers écoresponsables, d'Heudebert qui propose des biscottes bio... En 2019, le CA du petit déjeuner est de 14, 5 milliards, celui du petit déjeuner bio de 305 millions d'euros. La progression de ce dernier est deux fois supérieure à celle du petit déjeuner non bio. Les consommateurs veulent des produits plus sains, moins sucrés.
Numéros de page :
pp.28-30, 32, 34, 36

Article

Auteurs
La Chandeleur, fêtée par 66% des Français est une période importante pour les fabricants du secteur Francine qui détient 35% des PDM pour la farine, Béghin Say (sucre), Lactel (lait), Loïc Raison (cidre), Nutrimaine (chocolat en poudre) et Lessieur (huile) qui se sont unis dans le comité Crêpes en fête pour une meilleure mise en avant en magasin à coût partagé. Les pâtes à tartiner profitent également de cette fête puisque les quatre semaines de la Chandeleur représentent 11 à 12 % des ventes annuels. Cela permet également aux entreprises artisanales de se faire connaître. Graphiques.
Numéros de page :
pp.38-40, 42

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Date parution pério
2020-02-13
En 2020, pour séduire les consommateurs, les fabricants français de l'épicerie sucré misent sur des produits locaux et des recettes régionales. Les packagings et la communication sont également travailler pour faire ressortir l'histoire du produit. Les consommateurs sont attentifs à la qualité des ingrédients, à l'agriculture française, à la traçabilité et au bio pour leurs achats. En 2019, le CA du secteur était de 16,9 milliards d'euros. Zoom sur les confitures éthiques des Monts du Lyonnais, sur le lait du chocolat Milka et sur les douceurs provençales du confiseur Doucet.
Numéros de page :
pp.30-32, 34, 36, 38, 40-42, 44

Article

Auteurs
En 2020, le fabricant et distributeur français d'aliments bio Bjorg, Bonneterre et Compagnie, veut se donner une visibilité accrue en magasin, dans les médias et sur les réseaux sociaux. Une gamme pour enfant sera développée, ainsi qu'une offre familiale en épicerie salée. Les packagings de ses produits existants seront rénovés. En 2019, sa croissance en bio dans les grandes et moyennes surfaces (GMS) n'a pas dépassé les 5%, alors qu'elle y réalise 80% de son CA de 372 millions d'euros, en raflant 20% des parts de marché.
Numéros de page :
pp.18-19

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La confiserie limite les dégâts uniquement grâce au chocolat en 2020. Entre août 2019 et 2020, le marché affiche une croissance de 1,4 % à 3,89 milliards d'euros, mais seuls les tablettes et confiseries au chocolat, les deux catégories phares du rayon, ont fini dans le vert. Le confinement a fait plonger les ventes de chewing-gums, -15,8 %, de confiseries de sucre, -14,5 %, et de barres céréalières, -12,6 %. Les acheteurs se sont recentrés sur des achats essentiels pour le confinement, délaissant ce rayon. L'absence des enfants lors des courses a également freiné les achats non programmés.
Numéros de page :
pp.72, 74

Article

Auteurs
Leader toujours incontesté sur le marché de la pâte à tartiner, Nutella accuse pourtant le coup en 2020 face à la concurrence. Son CA 2019 a reculé de 4,4 % à 307 millions d'euros, écorné par l'arrivée de nouvelles pâtes se voulant plus saines et utilisant des produits locaux et bio, à l'image des produits de Lucien Georgelin ou de Funky Veggie. La start-up Graine de choc se démarque également en affichant sur sa pâte un nutri-score, indicateur rare dans le rayon.
Numéros de page :
pp.40-47

Article

Auteurs
Le confinement lié au Covid-19 a boosté les ventes de produits pour le petit-déjeuner. Entre mai 2019 et mai 2020, le CA de l'univers du petit-déjeuner a progressé de 3,1% pour atteindre 15 milliards d'euros. Les ventes de boulangerie-viennoiserie s'élevaient à 2,2 milliards d'euros, celles des boissons chaudes à 3,5 milliards d'euros, celles des céréales à 734 millions d'euros et celles des tartinables à 2 milliards d'euros. Les produits les plus plébiscités sont bio, naturels et d'origine française. Graphiques. Données chiffrées.
Numéros de page :
pp.30-34, 36, 38

Article

Auteurs
En difficultés depuis plusieurs années face à des consommateurs français soucieux de manger plus sain, le sucre a connu un net rebond en 2020 grâce au confinement. Entre mars et mai, les ventes ont bondi de 30 % en valeur et 29 % en volume, le marché s'établissant ainsi à 374,14 millions d'euros (+7,1 %) en août sur un an. Toutes les catégories sont concernées, depuis le sucre cristal jusqu'au sucre en poudre, en passant par les aromatisés ou l'extra-fin. Même le bio, qui aurait pu être "écrasé" par cette vague, a confirmé qu'il était porteur.
Numéros de page :
pp.48-49