Aller au contenu principal

Filtrer

Nous avons trouvé 34 résultat(s) pour votre recherche "Aucun mot clef"

Article

couverture du document
Auteurs
Auteur, acteur et metteur en scène, Dieudonné Niangouna fait du théâtre un ring : un espace de combat, certes, mais avant tout ludique. A l'occasion de sa nouvelle création à la MC93, nous avons rencontré ce challenger du théâtre de texte.
Numéros de page :
pp.96-98

Article

couverture du document
Auteurs
Date parution pério
2023-10-01
Pour son cinquantième film, Woody Allen s'est offert un cadeau en forme de renaissance. Le héros de son film précédent se fantasmait cinéaste européen ; Allen franchit le pas et tourne à Paris, en français et avec un casting entièrement français, un film sur le hasard, l'amour et le destin qui s'inscrit dans la lignée de "Match Point" et "L'Homme irrationnel". Il est possible que "Coup de chance" soit son dernier film, auquel cas ce seizième entretien avec le cinéaste pourrait être le dernier que publie "Positif". Comme il est possible que l'avenir nous réserve un nouveau coup de chance.
Numéros de page :
pp.34-41

Article

couverture du document
Auteurs
Date parution pério
2024-02-01
Au sein du dispositif de mise en scène imaginé par Jonathan Glazer dans "La Zone d'intérêt", Sandra Hüller interprète ce qui semble impossible à interpréter : une inhumanité tranquille, inconsciente d'elle-même. Cette performance au cordeau, glaçante mais jamais ostentatoire, nous a donné envie de rencontrer une actrice dont la carrière a pris, avec "La Zone d'intérêt" et, bien sûr, avec "Anatomie d'une chute", une ampleur internationale.
Numéros de page :
pp.6-13

Article

couverture du document
Auteurs
Date parution pério
2023-09-01
"Il y a un truc qui cloche". C'est ce que pressent Felix, le premier personnage à prendre la parole dans Le Ciel rouge. Pourtant, tout emble en ordre. Deux garçons, Felix et Leon, roulent en voiture sur une route forestière, tandis qu'on entend une chanson belle et envoûtante : "In My Mind", du groupe autrichien Wallners.
Numéros de page :
pp.36-37

Article

couverture du document
Auteurs
Date parution pério
2024-03-01
Ayant achevé, avec "Un autre monde" (2021), une trilogie sur l'entreprise, le travail et les souffrances qu'inflige un système où l'exigence de rentabilité l'emporte sur toute autre considération, Stéphane Brizé s'est échappé dans une station balnéaire déserte pour retrouver la veine intimiste de son cinéma, dans un film où il est question des risques qu'on n'ose pas prendre et de la difficulté de vivre, où la mélancolie se mêle à une poésie de la dérision.
Numéros de page :
pp.6-13

Article

couverture du document
Auteurs
Date parution pério
2020-09-01
Nous suivons depuis longtemps avec intérêt l'oeuvre singulière d'Emmanuel Mouret, peintre des sentiments et du marivaudage, adepte d'un cinéma où la parole a une place prépondérante. S'il avait choisi d'adapter un récit de Diderot dans son film précédent (le remarquable "Mademoiselle de Joncquières"), Mouret revient avec "Les Choses qu'on dit, les choses qu'on fait" à un récit personnel et contemporain, sur lequel plane toujours l'esprit de la littérature du XVIIIe siècle. Ce film choral touchant et subtil était l'occasion rêvée d'un premier entretien.
Numéros de page :
pp.18-25

Article

couverture du document
Auteurs
Bulletin : Positif 749
Date parution pério
2023-07-01
"Anatomie d'une chute", s'ouvre par une séquence d'interview catastrophique. Il est donc troublant de s'installer face à Justine Triet, à Paris, quelques jours après son retour du Festival de Cannes. Réalisatrice de "La Bataille de Solférino" (2013), "Victoria" (2016) et "Sybille" (2019), nous la rencontrons pour la première fois. Et c'est ici, dans cet appartement, que le scénario de son quatrième long métrage a germé. Dans le salon, s'attardent des valises pas encore défaites et une maison de poupée qui pourrait bien être un petit chalet, une volée de marches monte vers l'étage.
Numéros de page :
pp.106-112

Article

couverture du document
Auteurs
Bulletin : Positif 725
Après un premier long métrage sensible et doux-amer, "Good Luck Algeria" (2015), Farid Bentoumi poursuit sa réflexion sur les liens familiaux avec "Rouge", une oeuvre engagée et passionnante qui brasse nombre de sujets essentiels de notre époque : la défense de l'environnement, le rôle des lanceurs d'alerte, la déliquescence du lien social.
Numéros de page :
pp.104-106, 108-112

Article

couverture du document
Auteurs
On entendit, aux derniers jours de cette 74e Berlinale, pleurnicher quelques festivaliers qui regrettaient le départ de Carlo Chatrian, châtié par une (forcément) méchante ministre de la Culture allemande, Claudia Roth, et remplacé par une directrice artistique anglaise (forcément) vendue, Tricia Tuttle. Saint-Carlo, crucifié sur l'autel Netflix après un chemin de croix le long d'un tapis rouge déserté par les vedettes américaines et pas assez accueillant pour le cinéma d'auteur allemand. Joli roman !
Numéros de page :
pp.33-38

Article

couverture du document
Auteurs
Dix-huit mois après "La Prière", Cédric Kahn déroute de nouveau avec "Fête de famille", film inclassable qui tient à la fois de la comédie de groupe et de l'autoportrait pudique, de la satire sociale mordante et du mélodrame déchirant. On se croirait parfois chez Pialat, maître évident, pour la violence des affects et pour la justesse absolue de ton, mais un Pialat apaisé qui ne répugnerait pas ici à un gag désopilant, là à un envol lyrique sur fond de Chopin.
Numéros de page :
pp.6-12

Article

couverture du document
Auteurs
A la suite d'une rupture amoureuse, Frank Beauvais se retrouve isolé dans un petit village d'Alsace. Emmuré dans son chagrin, reclus dans une maison à la fois vide (de la présence de l'être aimé) et encombrée (de tous les papiers, vinyles, DVD et autres supports que peut accumuler un biblio-cinéphile mélomane), il se vautre dans la "cinéfolie".
Numéros de page :
pp.36-37

Article

couverture du document
Auteurs
"1917" est de toute évidence un tournant décisif dans la carrière de Sam Mendes. Le metteur en scène brillant, virtuose, aigu, nous a plus d'une fois séduits, dans des oeuvres apparemment très différentes les unes des autres ("American Beauty", "Les Sentiers de la perdition", "Les Noces rebelles", "Jarhead", et le meilleur des James Bond, "Skyfall"). Cette nouvelle oeuvre le voit puiser dans des souvenirs familiaux et affronter avec talent l'écriture de scénario.
Numéros de page :
pp.12-21

Article

couverture du document
Auteurs
Circulation entre passé et présent, entre contre-culture de naguère et richesse glorieuse d'aujourd'hui, entre Madrid et province: le nouveau film de Pedro Almodovar reprend des motifs déjà esquissés dans son précédent long métrage, "Julieta", qui marquait l'entrée dans une nouvelle phase de son oeuvre. Une phase plus personnelle, plus tourmentée, où le cinéma apparaît comme le seul remède contre la douleur de la solitude et de la perte et qui réaffirme avec force que tous les autres arts (en particulier l'écriture et la peinture) sont source de vie et d'inspiration pour le cinéaste.
Numéros de page :
pp.20-26

Article

couverture du document
Laure de Clermont-Tonnerre a grandi en France puis a débuté dans l'art dramatique à New York. La jeune femme, qui vit aujourd'hui à Los Angeles, a tourné son premier long métrage dans les paysages rocailleux du Nevada, comme si la tentation du cinéma était indéfectiblement liée à celle de l'Ouest. Dans "Nevada", la réalisatrice française orchestre avec brio la rencontre de deux genres américains par excellence, le western et le film de prison.
Numéros de page :
pp.44-51

Article

couverture du document
Auteurs
Greta Gerwig nous avait surpris et ravis, voici deux ans avec "Lady Bird", portrait d'une adolescente de Sacramento, éprise de liberté. Nous attendions son second film avec un mélange d'impatience et d'inquiétude : "Les Quatre Filles du Docteur March" passent en effet pour un roman désuet. Notre inquiétude était vaine : le roman de Louisa May Alcott, cette nouvelle adaptation en fait la démonstration, raconte avec netteté la naissance historique de la jeune fille moderne (il faudra faire un jour le compte de ces livres dont le cinéma, et lui seul, a fait des classiques).
Numéros de page :
pp.6-13

Article

couverture du document
Auteurs
Son deuxième film comme metteur en scène, "L'Homme fidèle", confirme les promesses entrevues dans "Les Deux Amis" et nous offre l'occasion d'une conversation à bâtons rompus avec Louis Garrel. Le comédien revient sur ses influences, sa cinéphilie, l'expérience acquise avec son père, et quelques-uns des derniers rôles marquants d'une carrière déjà riche : cette année, il a prêté ses traits à Godard et Robespierre... en attendant Dreyfus. Sommaire. L'homme à la valise, critique du film par Louise Dumas.
Numéros de page :
pp.20-28

Article

couverture du document
Auteurs
Retour sur le premier long métrage, en 1996, du réalisateur Paul Thomas Anderson, "Hard Eight" qui se distingue déjà par une direction d'acteur impliquée et maîtrisée.
Numéros de page :
pp.86-87

Article

couverture du document
Auteurs
Sibel, personnage principal du film éponyme, a perdu la voix suite à un traumatisme d'enfance. Rejetée par sa communauté, elle trouve refuge et liberté dans les bois où elle va rencontrer Ali, un déserteur.
Numéros de page :
pp.42-43

Article

couverture du document
Auteurs
Varda par Agnès est une manière, pour la cinéaste de "Cléo de 5 à 7" et des "Glaneurs et la Glaneuse", de revisiter toute son oeuvre en la commentant avec l'acuité qu'on lui connaît.
Numéros de page :
pp.6-12

Article

couverture du document
Auteurs
Présenté lors de la dernière Berlinale, "Ondine" a remporté l'Ours d'argent de la meilleure actrice (Paula Beer). C'est une récompense méritée car "Ondine" est sans doute le film le plus incarné et le plus charnel de Christian Petzold qui a aussi été récompensé du prix de la Fédération internationale de la presse cinématographique (Fipresci). A l'image du film, l'entretien que le cinéaste nous a accordé nous a entraînés sur un terrain où nous n'attendions pas le réalisateur : celui du mythe, de l'érotisme et du féminisme. Sommaire. Conte d'amour, conte à rebours, la critique du film.
Numéros de page :
pp.12-18

Article

couverture du document
Auteurs
Ainsi que son titre l'indique, "Alice et le maire" raconte avec tout un épisode de la vie d'un personnage prénommé Alice : les quelques mois passés à la mairie de Lyon.
Numéros de page :
pp.62-65

Article

couverture du document
Auteurs
Paul Thomas Anderson est un des cinéastes les plus surprenants du moment. Il embrasse les milieux, les époques, les genres et, tout en poursuivant le même type de personnage obstiné, dominateur, masochiste, propose un éventail stylistique aux nuances infinies. Qui aurait pu prévoir que le cinéaste allait retrouver le rugueux Daniel Day-Lewis de "There Will Be Blood" sous les traits d'un couturier raffiné de la gentry des années 1950 ?
Numéros de page :
pp.6-13

Article

couverture du document
Auteurs
Josef Hader, vu sur les écrans français dans "Stefan Zweig, adieu l'Europe" (Maria Schrader, 2016), est connu en Autriche pour ses one man shows qui détournent la tradition du cabaret. Plutôt que de décocher directement les flèches de la satire sur le politique ou le sociétal, Hader y expose Hader, la figure tragicomique qu'il a créée et qui exécute différents numéros. Son spectacle le plus connu s'intitule ainsi "Hader joue Hader".
Numéros de page :
pp.38-39

Article

couverture du document
Auteurs
La prééminence cannoise qui conduit réalisateurs et producteurs à préférer la Croisette oblige Berlin à la découverte et cela n'est pas sans intérêt pour une critique un peu curieuse. Ainsi, le festival est marqué par quelques tropismes qui lui font accorder une large place aux films de l'Est (Pologne, Russie, Roumanie) et du Nord (Suède, Norvège), mais aussi à ceux d'Amérique latine souvent récompensés à Berlin.
Numéros de page :
pp.30-35

Article

couverture du document
Auteurs
Ildikô Enyedi est une cinéaste parcimonieuse. Après son premier long métrage "Mon XXe siècle", présenté dans la sélection Un certain regard à Cannes, en 1989, et récompensé par la Caméra d'or (voir "Positif" n° 341-342, juillet-août 1989, Cannes, p. 80), il a fallu attendre (du moins sur les écrans français, car la cinéaste hongroise a en réalité développé quelques autres projets entre-temps) presque trente ans pour la retrouver avec "Corps et âme".
Numéros de page :
pp.84-85

Article

couverture du document
Auteurs
A l'aune des films couronnés aux Oscars en 2017, le cinéma américain prouve qu'il sait encore parler et faire parler de lui grâce à ses héros.
Numéros de page :
pp.68-70

Article

couverture du document
Auteurs
Une impression s'empare parfois de Paula : celle d'avoir raté quelque chose, de n'avoir pas eu son dû. "J'ai la nostalgie de trucs que je n'ai pas vécus", dit-elle. En particulier, elle voudrait commencer les études qu'elle n'a jamais faites. Cette nostalgie est certes propre à la trajectoire individuelle de Paula. Mais c'est peut-être aussi celle, historique, d'une génération de "jeunes femmes" qui n'a pas pu se payer le luxe de l'inconséquence et de l'incompétence glorieuses des personnages interprétés par Anna Karina ou Jean Seberg chez Godard. De nos jours, tout semble plus difficile.
Numéros de page :
p.52

Article

couverture du document
Auteurs
Le nouveau film de Raymond Depardon explore les applications de la loi du 27 septembre 2013 selon laquelle les patients hospitalisés sous contrainte dans les hôpitaux psychiatriques doivent être présentés à un juge des libertés et de la détention avant douze jours.
Numéros de page :
pp.38-39

Article

couverture du document
Auteurs
Il se fit d'abord connaître comme collaborateur (au scénario et au montage) de Laurent Cantet. De film en film se dessinait un auteur singulier. "Les Revenants" (2004) eut moins de retentissement que la série qu'il inspira, mais le dérangeant "Eastern Boys" (2013), avec Olivier Rabourdin, fit sensation dans la section Orizzonti où il fut présenté à Venise, et reste à ce jour son long métrage le plus audacieux et le plus original. "120 Battements par minute" devrait lui ouvrir les portes du plus large public.
Numéros de page :
pp.16-23

Article

couverture du document
Auteurs
Bulletin : Positif 735
Date parution pério
2022-05-01
Le fils du réalisateur iranien assigné à résidence Jafar Panahi n'avait qu'une dizaine d'années quand son père se fit connaître en remportant la Caméra d'or au festival de Cannes avec "Le Ballon blanc" (1995). Ce dernier s'inscrivant dans la lignée réaliste d'Abbas Kiarostami, on pouvait attendre de Panah Panahi - qui fut l'assistant de Jafar - une poursuite dans la même veine. D'où la merveilleuse surprise de "Hit the Road", la première comédie loufoque sur le thème des migrants !
Numéros de page :
pp.16-23