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Nous avons trouvé 127 résultat(s) pour votre recherche "Aucun mot clef"

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Bulletin : LSA 2685
La proposition de loi visant à interdire progressivement les additifs nitrés dans les produits de charcuterie doit être débattue en séance du 3 février 2022 à l'Assemblée nationale. Préalablement, elle a été largement amandée. Porté par une cinquantaine de députés, le texte a fait l'objet de débat dans la filière. La Fédération des industriels de la charcuterie et du traiteur (Fict) continue de défendre l'utilisation des nitrites et des nitrates, au nom de la sécurité sanitaire. Également, la réduction des nitrites mettrait en péril les éleveurs de la filière porcine. Explications et détails.
Numéros de page :
pp.16-17

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Bulletin : LSA 2683
67% des Français se disent inquiets concernant leur pouvoir d'achat, même si 62% le considèrent comme bon ou très bon, d'après un sondage réalisé début 2022 par LSA avec Appinio. En cause, l'inflation qui gagne du terrain. Une flambée que les industriels ne démentent pas et qui s'explique par l'explosion des prix des matières premières et du transport. Dans ce contexte, les négociations entre distributeurs et industriels, qui s'achèveront le 1er mars 2022, seront tendues. Explications et détails, avec données chiffrées. Présentation des résultats du sondage sous la forme de graphiques.
Numéros de page :
pp.8-11

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Bulletin : LSA 2683
Suite à la loi relative à la lutte contre le gaspillage et à l'économie circulaire de février 2020, il n'est plus possible depuis le 1er janvier 2022 de vendre les colis de moins de 1,5 kg de fruits et légumes frais non transformés emballés dans du plastique. Une mesure que les producteurs et distributeurs, mobilisés sur ce sujet depuis quelque temps déjà, essaient d'appliquer via le marquage au laser, les sachets papiers, le carton ajouré, etc. Une tolérance de six mois est toutefois prévue.
Numéros de page :
pp.34-36

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Bulletin : LSA 2684
Né en 2009 avec la création d'une première halle à Anglet (Pyrénées-Atlantiques), Biltoki a depuis ouvert 5 autres lieux de ce type en France (Talence, Bordeaux, Saint-Etienne, Toulon). L'entreprise affiche un CA de 4,5 millions avec ses 6 halles qui génèrent un volume d'affaires de 35 M EUR. Il poursuit son expansion : après une ouverture à Villeneuve-d'Ascq en décembre 2021, il en prévoit une autre à Issy-les-Moulineaux au sein d'un bâtiment Eiffel réahabilité en 2022, et une neuvième à Angers en 2023. Des précisions. Données chiffrées.
Numéros de page :
pp.24-25

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Bulletin : LSA 2676
Sur le marché français des produits traiteur libre-service, en hausse de 9,2% à 7,2 milliards d'euros, le traiteur frais emballé connaît une forte croissance à +15,6% (853 millions d'euros) en cumul annuel mobile au 3/10/2021, tous circuits. Dans ce contexte, les distributeurs, comme Système U par exemple, et les industriels cherchent à poursuivre leur progression sur ce marché, dont les principales catégories sont les entrées ou les produits apéritifs, les salades et les plats cuisinés. Ils poursuivent l'extension de leur offre. Des précisions sur les stratégies de quelques acteurs.
Numéros de page :
pp.46, 48

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Bulletin : LSA 2692
Planted, qui a débuté son activité en France en 2021 en proposant ses produits dans les entreprises de livraison de repas et la grande distribution, est une start-up suisse développant des substituts de viande tout en misant sur la transparence. Son usine est localisée à Kemptthal, en Suisse. La jeune pousse, qui a déposé 5 brevets, travaille une pâte de protéines et de fibres de pois extrudés. Elle affiche des objectifs ambitieux : multiplier les ventes par quatre chaque année. Des détails à travers la visite de l'usine. Données chiffrées.
Numéros de page :
pp.20-21

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Bulletin : LSA 2692
Sur le marché français de la pause déjeuner, impacté par la crise sanitaire et le télétravail, mais toujours dynamique en grandes et moyennes surfaces, des acteurs, fabricants et distributeurs traditionnels ou nouveaux venus, tentent de s'imposer avec des concepts nouveaux.
Numéros de page :
pp.28-30, 32, 34

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Bulletin : LSA 2693
Dans le contexte de la guerre en Ukraine, les cours des matières premières qui constituent la base de l'alimentation animale (blé, maïs, orge, tournesol...) connaissent une importante hausse et précipitent ainsi les difficultés des filières avicoles et porcines, déjà fragilisées par des épidémies (peste porcine africaine et influenza aviaire). La France est excédentaire en production de céréales, ce qui écarte les risques de pénurie. Mais sur le marché mondial, la spéculation est sans précédent. Explications. Données chiffrées.
Numéros de page :
pp.12-13

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Bulletin : LSA 2686
Après une année 2020 exceptionnelle, le marché de la charcuterie a connu un rééquilibrage, en France, en 2021. Le rayon charcuterie libre-service a enregistré un recul de 4,2% en volume et de 2,8% en valeur, d'après Iri en cumul annuel mobile au 28 novembre 2021. Poids lourd de la catégorie, le jambon cuit subit un décrochage sévère avec un CA en recul de 6,1% (1,4 milliard d'euros) tandis que le jambon cru baisse de 3,7% (420 millions d'euros). Seuls les produits de charcuterie tranchée échappent à la baisse (+4,2% en valeur).
Numéros de page :
pp.50, 52, 54

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Bulletin : LSA 2674
Après avoir connu des performances exceptionnelles en 2020 sous l'effet du transfert de la restauration vers la consommation à domicile, le marché français de la charcuterie s'essouffle à nouveau. Son CA est stable à +0,2% (6,7 milliards d'euros), tandis que le volume baisse de -1,7% (558 millions de tonnes) en cumul annuel mobile au 29/08/2021 (Source : Iri). Le secteur, représenté par la Fédération des industriels de la charcuterie et du traiteur (Fict), souffre des attaques de Yuka.
Numéros de page :
pp.46-48, 50, 52

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Bulletin : LSA 2671
Spécialisé dans l'embouteillage des liquides vendus sous marques de distributeur (lait, jus de fruits, boissons végétales) et également actif dans la salade de quatrième gamme avec la marque Les Crudettes rachetée en 2013, LSDH - Laiterie de Saint Denis de L'Hotel (CA 2020 de 920 millions d'euros) vise a rendre son activité plus "verte".
Numéros de page :
pp.26-27

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Bulletin : LSA 2671
En 2021, le marché français des fruits et légumes secs a le vent en poupe avec un CA de 701 millions d'euros pour les fruits secs (+3,9%) et de 59,9 M EUR (+6%) pour les légumes secs, tous circuits. Mais ils doivent surmonter plusieurs obstacles, comme trouver une place en magasin, alors que le marché est complexe et que les usages évoluent. Les entreprises positionnées sur ce marché ont des atouts à faire valoir, alors que la loi Climat contraint les points de vente à consacrer 20% de leurs surfaces au vrac d'ici 2030.
Numéros de page :
pp.60-61

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Bulletin : LSA 2670
Avec une démographie galopante, une santé vacillante, et des ressources déclinantes, l'industrie agroalimentaire se trouve au coeur de grands enjeux planétaires pour les prochaines décennies. La transformation est nécessaire, voire indispensable. Les industriels déploient divers leviers d'actions, de la composition des produits à l'origine des approvisionnements. Le végétal est également une voie explorée. Explications et détails sous la forme d'un dossier. Sommaire. Un chantier incontournable, celui de la transformation alimentaire. Quatre axes d'action pour les industriels.
Numéros de page :
pp.30-32, 34, 36, 40, 42, 44, 46, 48

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Bulletin : LSA 2701
Président du groupe français de volailles LDC depuis le début des années 2000, Denis Lambert s'apprête à passer la main en 2022. Sous ses mandats, l'entreprise aura mené plus de 40 opérations de croissance externe et passé la barre des 5 milliards d'euros de CA. LDC aura également su prendre les virages de la vente en GMS et des produits élaborés. Denis Lambert ne quitte pas la société pour autant puisqu'il deviendra président du conseil de surveillance en août 2023. Détails. Données chiffrées.
Numéros de page :
pp.20-21

Article

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Bulletin : LSA 2701
Le rayon du traiteur libre service affiche de belles performances depuis plusieurs années dans les grandes surfaces françaises, avec une croissance supérieure à 10 % au premier trimestre 2022. Face à des consommateurs à la recherche de produits de qualité et élaborés, certains points de vente décident même de se doter d'un service de fabrication, afin de proposer des plats conçus sur place. Si une telle initiative séduit le public et permet aux salariés de diversifier leur travail, elle nécessite également des investissements non négligeables, tant en matériel qu'en compétences humaines.
Numéros de page :
pp.27-28, 30, 32, 34, 36

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Bulletin : LSA 2704
Les entreprises positionnées sur le marché du frais non-laitier mettent en oeuvre des démarches de revalorisation de leur filière en 2022. Ces stratégies sont le fruit de coopératives, PME régionales, ou de partenariats entre distributeurs et producteurs.
Numéros de page :
pp.48-52, 54, 56, 58

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Bulletin : LSA 2696
A l'épreuve de la pandémie et, à présent, de la guerre en Ukraine, l'indépendance alimentaire de la France est devenue un des principaux thèmes de la campagne présidentielle
Numéros de page :
pp.14-16

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Bulletin : LSA 2696
Les rayons marée ont un fort enjeu en termes d'images pour les grandes surfaces. D'autant plus que le CA de la poissonnerie a augmenté de 4% dans les grandes surfaces alimentaires (2,2 milliards d'euros) et de 27% dans les commerces alimentaires traditionnels (980 M EUR) en cumul annuel mobile à janvier 2022 (source : Iri). Les clés de la réussite : un personnel bien formé, un assortiment (composé d'espèces issues de la pêche française, des criées locales, ainsi que de l'aquaculture, et des produits prêts à consommer), un rayon bien tenu, et des opérations de promotion.
Numéros de page :
pp.26-28, 30-32, 34, 38-39

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Bulletin : LSA 2719
Distributeurs et industriels français multiplient les expériences afin de faire évoluer les dates de consommation. Reste à obtenir le feu vert de la Commission européenne, qui planche sur la révision du règlement Inco relatif à l’information du consommateur. Pas de chiffres.
Numéros de page :
pp.20-21

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Bulletin : LSA 2716
Vente directe à la ferme, sites d'e-commerce, magasins de producteurs, etc.: les fruits et légumes distribués en circuit court ont le vent en poupe. La quête de la souveraineté alimentaire et l'urgence climatique pourraient-elles encore accélérer le développement de ce circuit alternatif encore marginal ? Données chiffrées. Graphiques. Tableaux.
Numéros de page :
pp.8-10, 12, 14, 16

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Bulletin : LSA 2717
Économiques, environnementaux ou sociétaux, les défis que doivent relever les PME sont à la fois multiples et de taille. Flambée énergétique, approvisionnement en matières premières, relocalisation, aléas climatiques, emploi, innovation, financements, partenariats avec la grande distribution : les dossiers sont nombreux sur la table. Et pour la plupart complexes à résoudre. Qui plus est dans un environnement rempli d'incertitudes et de menaces.
Numéros de page :
pp.42-50, 52-54, 56-58, 60-80

Article

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Bulletin : LSA 2713
Inflation, prix agricoles, sécheresse, rentrée sociale, coûts de l'énergie... Les dossiers chauds s'accumulent, à la veille d'une rentrée 2022 très incertaine. LSA fait le point sur les sujets les plus critiques pour la consommation, en même temps qu'un premier bilan de l'été. Sommaire. Inflation et pouvoir d'achat, équation clé à nombreuses inconnues. L'agriculture coincée entre hausse des coûts et baisse des volumes. Des négociations 2022 sous pression... en attendant 2023. Le casse-tête de la sobriété énergétique.
Numéros de page :
pp.8-12

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Bulletin : LSA 2713
Frappée par une quatrième épizootie d'influenza aviaire, la filière française du foie gras va devoir composer avec une baisse de 30 à 50% de ses volumes lors des fêtes de fin d'année. Industriels et distributeurs adaptent leur stratégie pour ne pas manquer ce rendez-vous. En parallèle, la filière travaille au renforcement des mesures de biosécurité et attend les conclusions des expérimentations vaccinales en cours. La situation devrait se normaliser au cours du second semestre 2023. Explications et détails.
Numéros de page :
pp.22-26

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Bulletin : LSA 2699
Le secteur français de la charcuterie continue de susciter les investissements en France. En 2021, le taux d'investissement (c'est-à-dire la part de l'investissement par rapport à la valeur ajoutée de l'entreprise) des entreprises de charcuterie était de 21,4%, contre 16,9% pour les entreprises de la viande et de 19,2% pour les entreprises de l'industrie agroalimentaire. Les charcutiers sont nombreux à investir dans leur outil industriel, le plus souvent à la faveur d'un changement d'actionnariat.
Numéros de page :
pp.28-32

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Bulletin : LSA 2709
90% des adhérents de l'Ania (Association nationale des industries alimentaires) sont retournés en négociation commerciale après le 1er mars 2022, suite au déclenchement de la guerre en Ukraine. Une situation notamment contestée par Michel-Edouard Leclerc (E.Leclerc) qui émet des doutes sur les hausses demandées par les industriels et réclame une enquête sur les origines de l'inflation. Retour sur la situation difficile de l'agroalimentaire à travers l'interview de Jean-Philippe André, président de l'Ania.
Numéros de page :
pp.20-21

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Bulletin : LSA 2709
Les jeunes acteurs du marché français des substituts végétaux, certes encore modeste mais prometteur, sont à l'offensive sur tous les fronts. R&D autour de leurs produits, investissements dans les outils de production, campagnes de communication... Elles multiplient les projets et par conséquent les levées de fonds pour contribuer au développement du marché et s'implanter durablement. Explications à travers quelques exemples d'entreprises : Happyvore, Umiami, La Vie, Heura Foods, Planted. Quelques données chiffrées.
Numéros de page :
pp.28-30

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Huit acteurs français de l'agroalimentaire, dont l'application Yuka ou l'épicerie en ligne La Fourche, ont lancé en janvier 2021 un Eco-Score destiné à connaître l'impact environnemental d'un produit. Reprenant le même fonctionnement que le Nutri-Score, avec une notation colorée allant de A à E, l'Eco-Score évalue le cycle de vie du produit afin de juger de son impact environnemental.
Numéros de page :
pp.6-9

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Comme de nombreux produits alimentaires, le jambon a profité de la crise de Covid-19 pour croître. Le marché du jambon cuit progresse de 8,6 % à 1,9 milliard d'euros sur l'année 2020, celui du jambon cru de 5,3 % à 361 millions d'euros. Si les confinements ont joué en sa faveur, le secteur s'appuie aussi sur une valorisation continue de ses produits afin de séduire plus de clients. Le jambon sans antibiotiques ou sans nitrites rencontre le succès et séduit les consommateurs à la recherche de références plus saines.
Numéros de page :
pp.60-62

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Au 1er janvier 2022, les emballages plastique pour les colis de fruits et légumes de moins de 1,5 kilo seront interdits en France. Les distributeurs et producteurs s'activent donc, début 2021, pour trouver des solutions et remplacer leur conditionnement traditionnel. Intermarché opte pour le carton, E.Leclerc pour le papier et la fibre de bambou. La vente en vrac, avec une étiquette directement collée sur le produit, constitue également une possibilité. Les entreprises ne veulent en effet pas perdre l'aspect informationnel de l'emballage, surtout lorsqu'il s'agit de produits labellisés.
Numéros de page :
pp.46, 48

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Destinée à répondre à la demande de consommateurs flexitariens de plus en plus nombreux, l'offre de substituts à la viande, à base d'ingrédients végétaux s'est considérablement élargie. Le marché français s'est élevé à 400 millions d'euros en 2019 et pourrait atteindre 460 M EUR d'ici à 2013. Les start-up françaises et étrangères se montrent offensives et bénéficient du soutien du capital investissement. Mais les grands groupes industriels n'entendent pas rester en retrait et nourrissent l'ambition de faire de ces produits de niche un nouveau marché de masse. Etat des lieux. Données chiffrées.
Numéros de page :
pp.24-26, 28, 30